Incendie à la caserne de gendarmerie de Meylan
Cela commence à faire un peu trop d’incendies successifs pour une ville réputée pour sa qualité de vie. Après les incendies des équipements, ce sont ceux qui sont chargés d’assurer notre sécurité et leurs familles qui sont visés. La protection de la gendarmerie est-elle si perméable ? Pendant que la maison brûle nos édiles se chicanent. Réveillez-vous !
Il se trouvera bien sur des idéologues persuadés que l’insécurité est plus un sentiment qu’une réalité
- Qu’on en fait trop avec la vidéo protection “qui-ne-sert-à-rien-la-preuve” et qu’une police municipale armée c’est pas bien et que ce sont les citoyens eux-mêmes qui devraient être vigilants… (veiller sur leur quartier la nuit ?)
- Que la priorité des priorités c’est la prévention à l’égard “des-jeunes-en-difficulté” coachés par une “police-de-proximité”
Sauf que la réalité a la tête dure, et que l’insécurité vécue est un facteur de désagrégation de la cohésion sociale chère à nos idéologues. Faudra-t-il transformer la lassitude en mouvement pour inverser la courbe de la délinquance sur la commune et provoquer comme sur l’urbanisme en dérive une prise de conscience ?
B.P. membre du dispositif Voisins solidaires et membre du clspd
Vos réactions à contact@uqbgp.fr
|